Les vaccins induisent-ils l’anomalie de l’hippocampe à l’origine des     décès par mort subite du nourrisson ?  
  En attendant que cette question taboue ose être soulevée, les taux de     vaccination les plus hauts restent associés aux plus hauts taux de mortalité infantile…
Par Ethan A. Huff, 5 décembre 2014 de Natural News  
Les preuves continuent de converger dans la mise en cause des vaccins comme déclencheurs     « mystérieux » de la Mort Subite du Nourrisson (MSN). 
Une étude récente publiée dans la revue Acta     Neuropathologica, ainsi que de nombreuses autres données  sur les taux de vaccination et les délais dans lesquels ces accidents se  produisent, peuvent faire penser que les vaccins     pourraient contribuer à l’inhibition du développement normal de l’hippocampe chez certains bébés. Ceci aurait pour résultats d’entraîner différents problèmes respiratoires, ainsi     que des défaillances cardiaques pouvant conduire à la Mort Subite du Nourrisson (MSN).  
  Des chercheurs de l’Hôpital pour enfants de Boston et de la Faculté de médecine de Harvard ont, par inadvertance,     découvert que près de la moitié de tous les nourrissons d’un  groupe de bébés qui sont décédés de la Mort Subite du Nourrisson (MSN)  présentaient une anomalie unique dans leur     hippocampe. 
Cette anomalie n’était pas présente chez les  nourrissons qui étaient morts d’autres causes connues.  
Sur base de  leurs observations, on croit maintenant que cette     anomalie perturbe la capacité du cerveau à réguler le mode  respiratoire et le rythme cardiaque pendant le sommeil, et c’est  précisément pendant le sommeil que la MSN se produit.  
  
 Bien  qu’il soit largement connu que l’hippocampe régule des fonctions  spécifiques du cerveau comme la mémoire,     l’apprentissage, l’orientation spatiale, cette partie centrale du  cerveau régule également la respiration et la fonction cardiaque.  
Quand  une structure au sein de l’hippocampe, le gyrus     hippocampe dentelé, contient une double couche de cellules nerveuses  au lieu de la simple couche habituelle, l’anomalie qui en résulte,  appelée  "bilamination focale de cellules     granulaires", peut conduire à une mort subite pour des raisons qui  ne sont pas encore apparentes à première vue.  
  D’après le Dr Hannah C. Kinney, M.D., auteure principale de l’étude : "Les types de modifications anormales du     gyrus dentelé nous suggèrent qu’il y a dû avoir un problème au cours du développement de la vie fœtale ou dans les mois qui ont     suivi la naissance.".- 
"Nous n’avons pas pu  observer des signes de dommages cérébraux qui auraient fait suite à de  trop faibles taux d’oxygène dans les tissus     examinés, tels que des cicatrices et la perte de cellules  nerveuses."  
  Un communiqué de presse ayant trait à l’étude financée par le National Institute of Health (NIH) est disponible     ICI :  
  Une étude montre que plus il y a de vaccins plus la mortalité infantile est     élevée !  
  Il a été expliqué comment ce problème peut se rapporter aux vaccins dans une étude de 2011, publiée dans le journal     Human & Experimental Toxicology. 
Comme la Mort Subite  du Nourrisson  est la première cause de décès chez les bébés d’un mois à  un an, il doit exister quelque chose de commun à     ces différents cas et qui aurait vraisemblablement été négligé  (oublié) au cours du développement des victimes. 
Ce serait probablement  cette "chose" qui serait  clairement à     blâmer. 
Cette "chose commune" semble bien avoir rapport avec les  vaccinations de routine des enfants.  
  Une équipe de chercheurs indépendants a étudié les taux de mortalité infantile (IMR) dans le monde et a pu observer     un lien direct entre le nombre de vaccins administrés et le nombre de décès de     nourrissons.  
  En  d’autres mots, les pays qui administrent le plus de vaccins aux enfants  au cours de leur première année de vie     présentent un taux de mortalité infantile (IMR) plus élevé, tandis  que les pays  qui se montrent plus prudents avec les vaccins ont des  taux de mortalité inférieurs.  
  "L’analyse  de régression linéaire du taux de mortalité infantile moyenne (non  pondérée) a montré une corrélation     statistiquement significative entre le nombre élevé de doses de  vaccin et l’augmentation des taux de mortalité infantile."  explique le  résumé de l’étude de Miller (NCBI.NLM.NIH.gov).  
  Les anomalies cérébrales liées au Syndrome de la Mort Subite du Nourrisson     (MSN) se développent principalement lorsque les enfants sont vaccinés contre l’hépatite B.  
  
  Fait  intéressant, l’étude ayant trait à la Mort Subite du Nourrisson a  révélé que les anomalies associées au syndrome de     la Mort Subite du Nourrisson ont tendance à se produire juste au  moment où les bébés sont vaccinés contre l’hépatite B. 
Comme on le sait,  le vaccin contre l’hépatite B associé à des convulsions,     de l’épilepsie, est aussi souvent associé à des anomalies de l’hippocampe. (voir notamment ici)  
  Tout  ceci suggère qu’au moins dans certains cas, les enfants qui sont  vaccinés contre l’hépatite B immédiatement après la     naissance conformément aux directives du CDC américain éprouvent des  troubles du développement de leur hippocampe qui peuvent conduire  ultérieurement à la mort subite.  
  
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