Thursday, 31 July 2014

La Quercétine : une substance utile pour la santé ?





La Quercétine : une substance utile pour l'asthme, le cœur, la prostate, le cancer…


http://maison3.advcdn.net/images/medias/000/027/000027491/660.jpgLes câpres sont très riches en Quercétine (1808 mg/kg) !
Ce sont les bourgeons floraux qui sont récoltés avant qu'ils s'ouvrent sur le petit arbrisseau Câprier au Maroc et conservés en saumure.  

Publié par boisvert
 
La Quercétine est réputée pour être le plus actif des flavonoïdes.

Au cours de ces trente dernières années la Quercétine a été l'objet d'une douzaine d'études scientifiques. 

Et chez l'homme  elle possède de multiples effets bénéfiques sur sa santé notamment une activité anti-inflammatoire mais aussi anticancéreuse, anti-ulcéreuse, anti allergique antivirale et une protection efficace sur le système cardio-vasculaire.
On pense que tous ces bénéfices seraient dûes à un grand pouvoir antioxydant et ces pouvoirs seraient décuplés en présence de vitamine C et E.

Mais tout d'abord la Quercétine est indiquée dans toutes les inflammations parce qu'elle inhibe la formation des médiateurs de l'inflammation : les prostaglandines et les leucotriènes de même que la libération de l'histamine. 
Cette dernière activité est particulièrement intéressante dans le cas de l'asthme car les leucotriènes B4 sont un puissant constricteur bronchique.

C'est donc un puissant inhibiteur de l'histamine, la substance qui provoque démangeaisons, éternuements, enflures dans la réaction allergique. 
Et ceci, même à faible niveau. 
Tous les flavonoïdes (dont la quercétine) ont montré un effet protecteur contre la libération d'histamine. 
Mais la quercétine à faible dose s'opposait à la libération d'histamine. 



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 La Quercétine

Une étude japonaise a pu étudier l'action de la quercétine lors d'une rhinite perannuelle et la quercétine inhibait significativement la libération de l'histamine.
L'association Quercétine - Bromélaïne (extraite de la tige d'ananas) est particulièrement intéressante car elles aident toutes les deux à diminuer la formation et la libération de prostaglandines pro-inflammatoires qui contribuent à l'enflure, à la rougeur et aux démangeaisons. 
Elles agissent en synergie pour réprimer ces réactions allergiques. 
Mais on peut également les utiliser dans les blessures sportives ou accidentelles. 
En fait la Bromélaïne aide à l'absorption de la quercétine qui le serait moins, prise toute seule.


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Des expériences de laboratoire ont permis d'observer que la quercétine a une remarquable capacité à prévenir la formation de coagulation sanguine et ainsi à disperser une agrégation de plaquettes synonyme d'obstruction de vaisseaux et d'infarctus. 
Comme c'est également un antagoniste de la thromboxane A2, un médiateur proinflammatoire responsable de l'agrégation plaquettaire, de vasoconstriction, la quercétine est efficace même à faible dose. 

Des études ont montré une réduction de la mortalité à long terme par les maladies cardio-vasculaires chez les personnes ayant une alimentation riche en flavonoïdes et en catéchines. 
On a mesuré ces bénéfices et on a pu déterminer que les hommes qui consommaient les plus grandes quantités de flavonoïdes avaient jusqu'à 50% en moins de risques d'avoir une crise cardiaque. 
De même les hommes qui avaient les plus faibles consommations de flavonoïdes avaient presque 4 fois plus de risques de faire une attaque cérébrale.

La quercétine a aussi un effet hypotenseur et elle diminue l'hypertrophie cardiaque et rénale qui fait suite à l'hypertension si elle n'est pas controlée. 
De même les chercheurs ont constaté que la quercétine préservait le fonctionnement mitochondrial dans les cellules du cœur.
Pour les reins la quercétine est également très intéressante. En effet la protéine NF (nuclear factor)-KB est considérée comme un marqueur de l'inflammation. 
De plus, l'activité de cette protéine proinflammatoire s'accroit avec l'âge. 


 http://img2.topsante.com/var/topsante/storage/images/media/images/medecine/galerie/les-aliments-qui-protegent-du-cancer-du-poumon/les-aliments-contenant-de-la-quercetine/320393-1-fre-FR/Les-aliments-contenant-de-la-quercetine_exact556x377.jpg
 Myrtille sauvage - 177mg de Quercétine/kg


Et les chercheurs ont constaté que la quercétine inhibait puissamment l'activation de NF-KB comme le fait la restriction calorique. 
Protéger les reins, le filtre de l'organisme, est de la plus haute importance pour l'état de santé général.

La quercétine a une action importante dans les cas de Prostatite, cette inflammation de la prostate qui provoque des douleurs, des difficultés à uriner et qui conduit souvent au cancer de la prostate. 
Les traitements conventionnels sont  souvent insatisfaisants et inefficaces. 
Sans parler de la toxicité des antibiotiques et leurs effets dévastateurs pour notre flore intestinale. 
Des études en double aveugle l'ont prouvé, la quercétine a un effet anti-inflammatoire dans ces cas de prostatite.
On a constaté une action anti-inflammatoire dans les cas de pancréatite et là aussi, c'est de la plus haute importance à l'heure où l'on parle de plus en plus du terrible cancer du pancréas.
La quercétine a également été étudié dans le cadre de cystites et il semble que, là aussi, elle est efficace.

En matière de Cancers, un rapport de 1989 a constaté  que la quercétine inhibait fortement la croissance de cellules de carcinome humain transplantés chez des rats immunocompétents. 

Dans les différentes expériences in vitro, la quercétine a montré des effets inhibiteurs de croissance de cellules de différents cancers humain : Colon, sein, prostate, gastro-intestinal ou leucémie.

L'activité biologique de la Quercétine dépend beaucoup de sa biodisponibilité qui varie beaucoup en fonction des sources dont elle est extraite. 
Par exemple des chercheurs ont demandé à 9 sujets de suivre une alimentation sans quercétine pendant 12 jours et par contre les 4ème, 8ème et 12ème jours on leur a donné un supplément d'oignons frits (riches en glucosides de quercétine équivalents à 89 mg de quercétine)  puis du thé (riche en rutinoside de quercétine équivalent à 100mg de quercétine) puis 100mg de quercétine. 
Les chercheurs ont constaté que l'absorption des glycosides de quercétine était de 52%, celle du rutinoside de quercétine de 17% et celle de l'aglycone de quercétine de 24%. 
On a constaté également que l'absorption de produits animaux (viande) stimulait l'absorption de quercétine de façon significative.

http://www.grijo-health.nl/wp-content/uploads/Quercetine.jpg
 Oignon rouge cru - 199mg de Quercétine au kg

 

Où est-elle ?
 
Tout d'abord dans les oignons qui en sont très riches et les oignons rouges encore plus que les jaunes. 
N'oublions pas que c'est un phytopigment, donc influencé par le soleil.  
A cause de cela on le trouve surtout à la périphérie des aliments qui en sont riches, comme la peau de la pomme, riche en quercétine et en fibres et préventive des maladies cardiovasculaires, et donc la peau des oignons. 
Attention donc à ne pas trop les trier lorsque vous en consommez. 
A mesure que vous enlevez des peaux, vous avez pu constater que la couleur disparaissait et  ainsi les peaux extérieures partaient dans la poubelle, la quercétine  avec. 
Donc pensez-y lorsque vous mangez un aliment, la peau c'est la protection, c'est la partie exposée au soleil, qui protège la plante, c'est elle qui a reçu les bienfaits et qui peut à son tour vous les distribuer.

Teneur de quelques aliments en quercétine :
Câpres - 1808mg/kg
Livèche - 1700mg/kg
Piment fort, jaune, cru - 506mg/kg
Chocolat noir - 250mg/kg
Oignon rouge cru - 199mg/kg
Myrtille sauvage - 177mg/kg
Cassis - 57mg/kg
Brocoli cru - 32mg/kg
Thé vert - 27mg/kg
Cerise - 12mg/kg
Vin rouge - 8,3 mg/kg  En fonction des cépages. Cela peut aller jusqu'à quelques dizaines de mg/kg.
Pomme crue (avec la peau) - 1,3mg/kg
Ne mangez pas un kilo de câpres, ni 500 grs de piment fort, mais bon appétit quand même !

http://santenature.over-blog.com/article-la-quercetine-123023549.html

http://www.sante-boutique.com/medias/images/Quercetine.jpg?fx=r_550_550


Le pissenlit est bon pour la santé !

Le pissenlit : une plante nutritive et médicinale facile à trouver !

 


 pissenlit
 

Souvent ignoré par les jardiniers mais adoré par les enfants qui s’amusent à souffler dessus afin de voir s’envoler ses aigrettes, le pissenlit figure parmi les plantes de nos jardins et de nos prairies dont les vertus nutritives et médicinales sont bien connus de nos aïeux et dont on aurait tort de se priver afin de rester en bonne santé.
Également appelé "dent de lion", le pissenlit regroupe de nombreuses espèces difficilement différenciables qui appartiennent au genre Taraxacum et que l’on retrouve un peu partout dans le monde. 
Cette plante rustique se retrouve partout et pousse dans tout les types de sols que ce soit dans nos jardins ou nos champs, le pissenlit pouvant même coloniser des endroits improbables comme des interstices entre des dalles ou des jardinières en plein cœur des villes.




Des vertus nutritionnelles et médicinales :

Bien connu pour ses propriétés diurétiques (pisse-au-lit), le pissenlit exerce également une action  dépurative sur le foie grâce à ses propriétés cholagogues et cholérétiques, les principes actifs de la plante étant majoritairement présent dans sa racine. 
Mais ses feuilles comestibles ne sont pas inintéressantes puisqu’elles sont riches en vitamines et en minéraux, et plus particulièrement en provitamine A, en vitamine C, E, B1, B6, B9 lui conférant une action anti-oxydante et stimulatrice du système immunitaire.
En ce qui concerne ses oligo-éléments, le pissenlit est particulièrement riche en fer, en calcium et en potassium de quoi être particulièrement indiqué chez les sportifs, mais aussi pour les personnes souffrant d’anémie liée à une carence en fer ou encore pour celles et ceux ne consommant pas de produits laitiers.



Pissenlit

 

Précautions particulières :

Bien que cela soit relativement rare, les pissenlits présents dans et aux abords des pâturages (le plus souvent de moutons bien que bovins et équidés ne soient pas épargnés) ainsi que dans les zones inondables peuvent être contaminés par la douve du foie, un parasite courant chez les animaux et qui peut occasionnellement se transmettre à l’homme et provoquer de graves troubles.
De ce fait, la consommation de pissenlits crus provenant de ces pâturages sera absolument à proscrire de par les risques encourus, ce qui implique une certaine vigilance en cas de "cueillette sauvage".

Principales indications :


  • Troubles digestifs : fatigue du foie, constipation, manque d’appétit, …

  • Troubles rénaux : insuffisance rénale, infections urinaires, hypertension, œdèmes, …

  • Dépuratif général

  • Cellulite, perte de poids,

 

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Comment l’utiliser ?


  • En infusion : Vous pouvez utiliser les racines séchées et les feuilles de pissenlit pour vous préparer des infusions après le repas. Comptez une à deux cuillère à café de plante sèche ou fraîche par tasse.

  • En cuisine : les feuilles de pissenlit se prêtent particulièrement bien à l’élaboration de salades qui ne coutent quasiment rien. Selon votre imagination, vous pourrez la mélanger à de nombreux autres aliments, le tout agrémentée d’une vinaigrette à l’huile de chanvre ou de colza riche en oméga 3.

  • En substitut du café : les racines de pissenlit séchées au four et réduites en poudre constitue une excellente alternative au café avec un impact plus bénéfique sur votre santé. Pour cela, épluchez les racines de pissenlit ainsi que des grains d’orge que vous laisserez une dizaine de minute au four afin de les torréfier. Passez ensuite les racines que vous aurez prédécoupé et les  grains dans un broyeur afin d’obtenir une poudre. Il ne vous reste plus qu’à laisser infuser la poudre dans de l’eau chaude pour déguster.

pissenlit


Posté par SASHAH
http://www.rentrer.fr/

Lombalgies aiguës : le paracétamol inefficace !

Lombalgies aiguës : le paracétamol ne serait pas efficace



Par Agathe Mayer


Le paracétamol, recommandé dans le traitement de lombalgies aiguës ne serait pas efficace pour soigner les douleurs et limiter le handicap, selon une étude scientifique australienne.

http://dentalcom.fr/Autre/BrunoBernard/wp-content/uploads/2011/11/R%C3%A9%C3%A9ducation-du-%C2%AB-Mal-au-Dos-%C2%BB-Lombalgie-Sciatique1.png
 
Pour traiter les douleurs dues aux lombalgies aiguës, le paracétamol ne serait pas efficace, selon les résultats d'une étude publiée dans la revue médicale The Lancet. 
Un placebo (médicament inactif) produirait de meilleurs effets pour le rétablissement du patient.
"Le paracétamol est le traitement recommandé pour les lombalgies" expliquent les chercheurs. 
Pourtant, aucune étude n'a jamais été menée pour établir l'intérêt de ce choix de prescription pour ces douleurs. 
Les chercheurs du "George Institute for Global Health" de l'Université de Sydney ont voulu analyser l'efficacité du paracétamol dans le traitement des douleurs lombaires aiguës.



Ils ont mené un essai clinique "PACE" sur 1 652 personnes souffrant de lombalgies aigues
Les participants ont été répartis en trois groupes. 
Le premier a reçu des doses régulières de paracétamol (3 fois par jour pouvant être pris jusqu'à 4 semaines), le deuxième en prenait si besoin (une dose maximale de 4g/jour) et le dernier a eu des comprimés de placebo (une substance inerte, sans activité pharmacologique). 
Tous les patients ont été suivis et conseillés par les chercheurs afin de les réconforter et de les aider quant à la douleur. 
La douleur des volontaires a été mesurée au bout de 7 sept jours de traitement.


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Lombalgie aiguë, l’ostéopathie plus efficace que les anti-inflammatoires selon une étude allemande !


Le paracétamol est inefficace

Les résultats de l'étude révèlent que le paracétamol ne produit pas plus d'effet que le placebo et que les patients sous produit inactif ont même récupéré plus vite.
"Ces résultats suggèrent que le paracétamol n'affecte en rien le temps du rétablissement d'une lombalgie commune aiguë. 
L'approbation universelle de paracétamol dans ce groupe de patients pose question", estime l'équipe australienne qui a réalisé l'étude.
"Les résultats sont clairs, mais le contenu des recommandations ne doit pas être modifié sur la base d'une seule étude", rappelle Dr Christopher Williams, qui a mené l'étude.
Chaque année en France la lombalgie commune entraîne une incapacité temporaire chez 3 à 4 % de la population et une incapacité totale chez 1% de la population en âge de travailler. 
La lombalgie est la maladie chronique qui entraîne le plus d'arrêt de travail chez les personnes de plus de 45 ans. 
C'est aussi la 3eme cause de handicap chronique chez les 45-64 ans. 
Selon l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), la lombalgie touche à un moment donné environ 33 % de la population.



Source : http://www.topsante.com/medecine/os-et-muscles/mal-de-dos/vivre-avec/lombalgies-aigues-le-paracetamol-ne-serait-pas-efficace-62485 


Le paracétamol n'a pas plus calmé la douleur des patients que le placebo, ni accéléré leur guérison.  
"Mais le paracétamol serait toujours efficace pour les douleurs liées aux soins dentaires", souligne le Professeur Chris Maher.

M. Dogna : Accouchement à la maison plus sûr !

Accouchement médicalisé... le dangereux parcours de la combattante !

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Michel Dogna






L’accouchement médicalisé a été tellement banalisé par la presse féminine que les femmes n’ont même plus idée qu’elles peuvent refuser toutes ces techniques qui les rendent totalement dépendantes des médecins et qui les dépossèdent du vrai vécu de leur accouchement.

Entrées à l’hôpital, elles se soumettent à toutes les directives qui leur sont imposées, pensant que plus l’accouchement sera contrôlé par une technologie ultra-moderne, plus il aura de chance d’être réussi.

Elles se livrent, corps et âmes, aux technocrates de l’accouchement qui, d’un bout à l’autre du travail, décideront de tout sans laisser au corps de la femme, ni au bébé lui-même, l’occasion de s’exprimer.

 

Elles se résignent à être des patientes allongées sur des lits d’hôpital, plutôt que des futures mères, en train d’enfanter activement.
Il serait temps que les femmes reprennent, elles-mêmes, les décisions concernant leur accouchement. 
Il serait souhaitable qu’elles reprennent le contrôle de leur corps et la responsabilité de leur bébé après la naissance. 
Pour cela, elles doivent être correctement informées sur la réalité des protocoles couramment employés dans les hôpitaux, sur leurs inconvénients et leurs effets secondaires, afin de choisir en conscience, l’accouchement qui leur convient le mieux.





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La préparation psy : inexistante

Les statistiques montrent que les accouchements difficiles sont la plupart du temps liés à une absence de préparation psychologique. 
Ça se passe comme dans le sport de haut niveau où la réussite est programmée au niveau du corps par un film intérieur de l’épreuve dans tous ses détails, et cela d’une façon répétitive.
Or certaines femmes, parce qu’elles ont peur de l’accouchement, refusent d’y penser, ceci les privant de la programmation cellulaire indispensable au déroulement paisible de cet acte naturel.

Concernant la phase contractions préliminaires et dilatation du col, j’en profite pour mentionner le bain chaud bien connu qui atténue considérablement les douleurs et accélère la dilatation – mais il faut disposer d’une baignoire.

 

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A noter aussi qu’il existe pour les perfectionnistes une méthode d’accouchement sans douleurs d’origine américaine : l’hypno-naissance enseignée en mini stages près de Toulouse par François et Julie Gerland au 05 61 68 33 82 ou 05 61 68 33 02.
Le soutien et les encouragements des proches et des "accompagnants" jouent également un très grand rôle. 

Ils sont rarement conviés. 
Les sages-femmes, outre leur compétence médicale, assurent un soutien psychologique important, mais elles n'ont plus le temps.



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La position lithotomique : inepte

Que dire de l’accouchement en position dite lithotomique (allongée sur le dos, les jambes relevées) imposée aux femmes par le corps médical, parce qu’elle permet une meilleure visibilité ! 
Très inconfortable pour la parturiente, cette position multiplie au moins par dix les douleurs de l’accouchement.
Il a été institué que les femmes ont besoin de médicaments pour résister aux souffrances de l’accouchement, mais elles ont le droit de les accepter ou de les refuser. 

Durant le travail, il suffit pourtant de quelques mesures simples : marcher, changer de position et ne pas rester sur le dos... pour diminuer le besoin de médicaments et notamment de péridurale. 
Mais presque aucune clinique ne propose ce genre de "délassement".

 

La péridurale : banalisée

Ah la péridurale ! 
Cette "merveilleuse" invention qui facilite la naissance reflète très bien la société dans laquelle nous vivons où tout fonctionne par le biais d’écrans protecteurs de la réalité, du "live".
Ce menu séduisant, systématiquement proposé aux femmes, est de nature à les rassurer et les sécuriser. 

Pourtant cette technique délicate qui consiste à injecter un anesthésiant dans la moelle épinière est loin d’être anodine.
 

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Aussi constate-t-on de temps en temps des femmes se retrouvant paralysées du bas du corps sur des périodes pouvant aller de 8 à 15 jours, ou avec des migraines intenses sur les mêmes périodes ; et tant pis pour celles sur qui cela tombe…
D’après l’American Journal of Obstetrics and Gynecology qui a fait paraître une étude concernant des femmes ayant choisi d’accoucher sous péridurale :

  • la première phase du travail a duré en moyenne deux heures de plus ;
  • la deuxième phase a duré une heure de plus ;
  • plus de la moitié de ces femmes ont eu besoin d’ocytocine pour intensifier le travail ;
  • quatre fois plus de femmes ont eu des bébés se présentant mal ;
  • deux fois plus de femmes ont eu recours aux forceps et ventouse ;
  • un quart d’entre elles (25%) a accouché sous césarienne (comparé aux 2% pour le groupe qui avait choisi un accouchement sans médication !). 
  •  

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Mais ce n’est pas tout. 
Le Dr Michel Odent - qui a dû s’exiler en Angleterre en raison de ses travaux trop dérangeants pour les pontes de l’establishment – a témoigné d’expériences effectuées sur des brebis et des truies que l’on a fait accoucher sous péridurale. 
Elles ne s’occupaient pas de leurs petits, et parfois même les tuaient. 
Bien sûr, cela ne veut pas dire que ceci soit valable pour la femme, mais quand même, il semble qu’il subsiste un reliquat de désordre hormonal émoussant quelque peu l’instinct maternel. 
Quand aux nouveau-nés accouchés sous péridurale, l’on constate très souvent chez eux une grande agitation qui peut perdurer plusieurs semaines, comme si leur système nerveux avait été intoxiqué par la drogue au travers du placenta.

 

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Les fabricants américains d’anesthésiques utilisés pour les péridurales se contentent de signaler que leur action à long terme sur le fœtus n’a pas été étudiée, pas plus que leur impact sur la vie ultérieure de l’enfant.
Pour ce qui est des effets immédiats, des études récentes ont montré de très nombreux effets négatifs sur les bébés dont les mères ont reçu des antalgiques : atteinte du système nerveux central, diminution des réactions sensori-motrices (qui peuvent affaiblir la création de liens avec l’enfant), perturbation de comportement alimentaire (la majorité des bébés souffrent de reflux gastrique), perturbation du réflexe de succion, abaissement du score aux tests de développement infantile, augmentation de l’irritabilité.


 

L'épisiotomie : systématique

Tout comme la rupture de la poche des eaux, l’épisiotomie fait partie du protocole. 
Or, contrairement à une idée reçue, l’épisiotomie ne diminue pas le risque de complications périnéales
Au contraire, elle le majore. 
Une étude parue dans The Lancet (décembre 1994) montre que l’épisiotomie est systématique, elle concerne 83% des accouchées et que l'on observe, post-partum, davantage de réparations chirurgicales, de douleurs périnéales et de complications de cicatrisation chez les adeptes de l'épisiotomie systématique que dans les établissements où cette pratique est réfléchie. 
Dans ces établissements, 30% seulement des parturientes la subissent.

 

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Les injections d’ocytocine, pour accélérer la dilatation du col, ne laissent pas aux tissus le temps de s’imprégner d’hormones et de se détendre correctement. 
C’est cette médication de gens pressés qui implique systématiquement le recours à l’épisiotomie. 
Pour que la mère échappe à la déchirure périnéale et à l’épisiotomie, il faut qu’elle soit en position verticale (accroupie, à quatre pattes) pour travailler avec la pesanteur et non contre elle. 
De cette manière, la tête du bébé étire lentement le périnée, sans provoquer de déchirure.


 

L'expulsion : le réflexe contrarié

Lorsqu’une femme accouche dans une parfaite intimité, on assiste au moment des dernières contractions précédant l’arrivée du bébé, à un réflexe d’éjection du fœtus. 
Souvent, juste avant l’orage de la naissance, les femmes expriment une peur d’une façon plus ou moins directe (j’ai peur, je vais mourir ou qu’est-ce qui se passe ?).
Si, pendant cette brève phase de transition, il n’y a aucune interférence, si la femme peut exprimer sa peur librement, les fortes contractions d’éjection surgissent dans toute leur efficacité. 

C’est ce que Michel Odent appelle "la peur physiologique". 
Lors de la dernière contraction, la future mère est souvent debout, penchée en avant, appuyée sur un meuble, suspendue à quelque chose ou a quatre pattes. 
Les déchirures sont très rares après un véritable réflexe d’éjection car les femmes trouvent des positions qui permettent une distension harmonieuse de la vulve.



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La séparation de la mère

La préoccupation majeure, lors d’une naissance douce, doit être de ne pas perturber le couple mère-bébé et de ne pas avoir d’attitude agressive envers le nouveau-né.
  • Dans les hôpitaux, on est généralement pressé de couper le cordon, alors qu’on devrait attendre que le sang ne batte plus à l’intérieur pour le faire.
  • On aspire le bébé, même s’il crie énergiquement alors qu’il n’y a aucun inconvénient à le laisser crachoter des glaires pendant un jour ou deux.
  • On évalue le "score d’Apgar" : on lui met des gouttes dans les yeux, on le pèse, on recherche des malformations… et peut-être lui fait-on une discrète piquouse de je ne sais quel vaccin.
  • Puis on le sépare de sa mère pour qu’elle se repose.
Toutes ces pratiques réduisent, de façon subtile, le contact mère-bébé. 
Après une naissance naturelle, la mère est éveillée et consciente, dynamisée par l’accouchement et désireuse de passer du temps avec son bébé sur son ventre, pour le toucher, le regarder, le nourrir, tandis que le bébé a besoin de la présence réconfortante de sa mère et de sa chaleur, de son contact, de sa voix, de son odeur. 
L’exaltation qu’éprouvent beaucoup de femmes après leur accouchement les aide à dépasser leur épuisement.



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Quand la sage-femme est remplacée par un obstétricien !

L'obstétricien ne devrait intervenir qu’en cas de problème…
- Les pays qui ont les plus faibles taux de mortalité maternelle et périnatale sont ceux qui ont les taux les plus élevés d’accouchements suivis par des sages-femmes (Pays-Bas, pays scandinaves, Japon).

- Les pays qui ont les taux les plus élevés d’obstétriciens ont les taux les plus élevés de césariennes (États-Unis 25%).

- L’OMS conseille de faire appel à des sages-femmes pour le suivi de la grossesse, la naissance et les soins du nouveau-né. Les résultats sont alors meilleurs pour les mères et pour les bébés car les sages-femmes proposent une surveillance prénatale personnalisée. Elles respectent la naissance en tant que processus normal et encouragent à faire des choix éclairés. Elles offrent aux femmes désirant des accouchements normaux, naturels et doux, une surveillance compétente de la grossesse.


 

L'hôpital est-il l'endroit le plus sûr pour accoucher ?

- Une étude américaine portant sur 242 000 naissances à l’hôpital et 2 200 naissances à la maison montre un taux de mortalité infantile de 12 ‰ dans les hôpitaux, contre 4 ‰ dans les naissances à domicile planifiées (Centre américain de surveillance des maladies).
- Une autre étude menée par le Dr Lewis Mehl-Madrona prouve que les complications et les interventions sont beaucoup plus fréquentes à l’hôpital qu’à la maison.

- Parmi les mères accouchant à la maison, 5% seulement reçoivent une médication contre 75% parmi les mères hospitalisées.

- Il y a 3 fois plus de césariennes à l’hôpital que dans les naissances planifiées à domicile puis transférées à l’hôpital.

- Le taux de détresses fœtales, d’infections néonatales et de lésions dues à l’accouchement est plus élevé chez les bébés nés à l’hôpital.

- Le taux d’épisiotomies est 10 fois plus élevé chez les mères hospitalisées et elles souffrent 2 fois plus souvent de déchirures périnéales graves dues à l’utilisation des forceps et à la position lithotomique.

- L’OMS estime que les hôpitaux qui ont un taux de césariennes supérieur à 10% interviennent trop souvent dans le déroulement de l’accouchement.

 

Ces études, comme bien d’autres, soulignent qu’il faut réexaminer la croyance générale qui fait croire que l’hôpital est le lieu le plus sûr pour accoucher ! 
Et pendant ce temps, on fait la guerre aux sages femmes et à l’accouchement à domicile ! 

Article de Michel Dogna extrait de la newsletter n° 102 d'AlternativeSanté.
 

Monday, 28 July 2014

Comment on vend des médocs néfastes !




Industrie du médicament : "J'ai vendu mon âme au diable"


John Virapen, 64 ans, livre le récit de son parcours dans l'industrie pharmaceutique. 

Une confession professionnelle peu ordinaire.

 

Du Prozac (Jeff Blackler/REX/REX/SIPA)Du Prozac (Jeff Blackler/REX/REX/SIPA)



Dans la famille "Les Repentis de Big Pharma", voici John Virapen, ancien directeur de la firme Eli Lilly en Suède, qui a rédigé dans sa soixante-quatrième année une confession professionnelle peu ordinaire. 
Par une ironie du destin, son livre est sorti en France jeudi 17 avril, au lendemain  de la mort de Jacques Servier.
"Depuis des années parfois aux premières heures du jour des silhouettes fantomatiques m’apparaissent en rêve, écrit-il en préambule. 
Elles se tapent la tête contre les murs ou s’entaillent les bras et la gorge a coups de rasoir. 
J’ai maintenant compris que j’avais indirectement contribué a la mort de personnes dont les ombres me hantent.
Je n’ai évidemment tué personne directement, mais aujourd'hui je ne peux pas ne pas me sentir responsable en partie de ces morts. 
J’ai été un instrument, un exécutant, mais consentant, aux mains de l’industrie. […] 
J’ai été certes manipulé, mais sans me poser de questions. 
J’ai vendu mon âme au diable."



Le cas du Prozac !

D’origine indoue et fils de pêcheur illettré de la Guyane britannique, l’auteur de ce mea culpa glaçant est entré dans l’industrie pharmaceutique, en 1968, par la toute petite porte. En acteur habile de ce qui ne s’appelle pas encore marketing, John Virapen est déjà en 1981 directeur des ventes de la firme Eli Lilly pour la Suède.
Il raconte les petits pactes inavouables qui se scellent dans ce milieu feutré, et la main mise des firmes sur les leaders d’opinion, ces grands professeurs renommés et gardiens de la doxa. 
Ainsi l’entre eux, spécialiste du traitement de la douleur et expert au ministère de la santé, recevait-il de Lilly un salaire fixe, moyennant conseil, relecture de brochures et autres conférences.

"On faisait surtout appel à lui en cas d’attaque contre nos produits dans les médias, souvent à propos d’effets secondaires. 
Il écrivait immédiatement des articles en notre faveur dans les journaux médicaux. 
Le microcosme médical était rassuré, la grande presse n’en parlait plus."

En 1986, pour le lancement de la fluoxétine d’Eli Lily, molécule d’or baptisée Prozac qui sera jusqu’à expiration du brevet en 2001 l’antidépresseur le plus prescrit au monde, John Virapen va commettre ce qui le hante au petit matin : avoir aidé à promouvoir un médicament dont il connaissait –déjà- l’impact suicidaire (pour les effets secondaires réels des psychotropes, voir le site de veille sanitaire indépendant de David Healy, chercheur à l’université de Cardiff RxiSK.org) et dont la supériorité sur le placébo n’est toujours pas établie en 2014.
Mais pour l’heure, tandis qu’au siège on organise le plan com’ qui fera de la dépression une maladie couramment diagnostiquée dans tous les pays riches, les satrapes de Lilly s’affairent dans les capitales afin d’obtenir pour le Prozac une autorisation de mise sur le marché.

Comment des suicidés ont disparu de l'étude !

A Stockholm, John Virapen sait qu’un expert indépendant a été officiellement désigné pour émettre un avis. 
Le nom du professeur est confidentiel, pour tenir éloignés les lobbies justement. 
John Virapen veut savoir. 
Il n’y a dans toute la Suède que cinq experts psychiatres suffisamment qualifiés pour avoir été sollicité par l’Etat.
L’un fait partie des autorités de santé ; ça ne peut être lui. Pour les quatre autres, il va agir en profiler et demander à ses visiteurs médicaux de se renseigner, discrètement. Après quelques semaines de ce maillage discret, l’expert est repéré : c’est Pr Z., à Göteborg. 
 "J’entrepris d’étudier le Pr Z. de plus près. 
Il aimait la voile. 
Je m’achetai un livre sur la voile." 
Virapen l’appelle, et parvient à l’inviter à dîner.
Un facteur a joué en ma faveur, je n’aimais pas le Pr Z, poursuit-il. 
Une réelle sympathie rend les manipulations plus difficiles. 
On n’aime pas piéger une personne qu’on apprécie. 
On ne veut pas obliger quelqu’un qu’on aime à franchir les frontières de la légalité. 
Le fait de ne pas aimer était donc un atout."

Un deuxième dîner va sceller leur entente. 
"L’argent est toujours utile", répond l’expert indépendant quand son hôte lui demande ce qui ferait accélérer son affaire. 
Le lendemain, Virapen appelle le bureau de Lilly à Copenhague, qui supervise les pays du Nord, explique qu’il faut 100.000 couronnes pour obtenir une autorisation rapide, soit 20.000 dollars. 
"Le bureau de Copenhague consulta celui de Genève. 
Cela prit 24 heures. 
Puis je reçus un appel : "John, faites tout ce qui vous semble nécessaire.'"
L’expertise du Dr Z. en fut quelque peu orientée. 
Dans le dossier initial, voici un exemple de ce qu’on pouvait lire : "Sur dix personnes ayant pris le principe actif, 5 eurent des hallucinations et firent une tentative de suicide dont 4 avec succès." 
A la place on lisait désormais : "Les 5 derniers ont présentés divers effets secondaires." 
Escamotés, les suicidés sous Prozac, au cours de la phase d’expérimentation.

Au dessus des lois ? Au dessus des États ?

Ce témoignage paraît un mois après celui de Bernard Dalbergue,(1) ancien cadre de chez Merck ; un an après l’ouvrage de Julie Wasselin qui fut pendant trente ans visiteuse médicale (2); et dix ans après que Philippe Pignarre, ancien de chez Synthelabo et lanceur d’alerte avant l’heure, a publié "Le Grand secret de l’industrie pharmaceutique" (3). 
Tous démontrent que la santé est depuis trente ans une affaire de business et de marketing sur fonds de désinformation aux conséquences criminelles.
La confession de John Virapen a été traduite par Philippe Even, qui poursuit ainsi un travail de recadrage entrepris en 2005, soit cinq ans avant le scandale Servier, avec sa traduction du livre Marcia Angell, rédactrice en chef démissionnaire du prestigieux "New England Journal of Medecine" (NEJM), "La vérité sur les compagnies pharmaceutiques" (4).
Etrangement, ces révélations ne suscitent pas l’effroi et les révolutions qu’elles devraient. 
Comme si la pharmaco-délinquance était une fatalité, et l’industrie du médicament une organisation impossible à contrôler, au dessus des lois, au dessus des Etats.
Anne Crignon - Le Nouvel Observateur

(1) "Omerta dans les labos pharmaceutiques", Avec Anne-Laure Barret, Flammarion
(2) "Le quotidien d’une visiteuse médicale", L’Harmattan.
(3) Editions La Découverte
(4) Editions du Mieux Etre


http://tempsreel.nouvelobs.com/sante/20140418.OBS4469/industrie-du-medicament-j-ai-vendu-mon-ame-au-diable.html

Saturday, 19 July 2014

Smoothie Framboise, Nectarine et Bleuet


Bonjour, aujourd’hui je vous invite à découvrir une recette de smoothie 100% fruits. Ce smoothie est antioxydant, tonique, il préserve la santé de la peau et il est une bonne source de fibres. Pour obtenir un smoothie protéiné, n’hésitez pas à ajouter du yogourt.


Cliquez sur la photo pour accéder à la recette »

Friday, 18 July 2014

Jus de Framboise et de Poire


Bonjour, aujourd’hui je partage avec vous un jus onctueux et délicieusement aromatisé à la framboise et à la poire. Ce jus est antioxydant, tonique, il nettoie l’organisme et il facilite la digestion.

Cliquez sur la photo pour accéder à la recette »

Wednesday, 16 July 2014

Smoothie l'Abricot, à l'Orange et à la Banane


Bonjour, aujourd’hui je vous propose un succulent smoothie à l’abricot, à l’orange et à la banane. Ce smoothie est antioxydant, tonique, il préserve la santé de la peau, il est une excellente source de vitamines C et A et il est une bonne source de fibres. Pour obtenir un smoothie protéiné, n’hésitez pas à ajouter du yogourt.


Cliquez sur la photo pour accéder à la recette »

Saturday, 12 July 2014

Le traitement naturel du Chikungunya !

L'épidémie de Chikungunya aux Antilles peut être maitrisé avec un traitement simple !


http://www.la1ere.fr/sites/regions_outremer/files/styles/asset_full/public/assets/images/2013/12/09/france_antilles_guadeloupe.jpg?itok=FiBf2ZSO


Nous avons déjà abordé le Chikungunya et son remède dans un article précédent, nous sommes étonnés de voir que les autorités sanitaires refusent de proposer un remède efficace et peu coûteux (c'est peut-être là son problème, pas assez lucratif !) qui a fait ses preuves à La Réunion en 2006, quitte à laisser les malades souffrir pendant des mois et même décéder !
Voir article : http://infos-santes.blogspot.fr/2014/06/le-chikungunya-et-le-remede-naturel.html

Donc nous en reparlons avec des informations plus précises et pratiques !

Une épidémie majeure aux Antilles :


"On observe depuis deux ou trois semaines une stabilisation qui se situe entre 2500 et 3000 nouveaux cas par semaine en Martinique et entre 5000 et 5500 en Guadeloupe. 
On est donc à un peu plus de 100 000 personnes qui ont consulté un médecin pour le chikungunya, soit environ 13,5% de la population antillaise", a déclaré Martine Ledrans, responsable de la cellule de l'Institut national de veille sanitaire (InVS) en région Antilles-Guyane.
Selon le ministère, la maladie a provoqué indirectement 33 décès chez les personnes âgées fragilisées.
Selon les derniers chiffres, plus de 100 000 personnes étaient touchées : 53 000 en Guadeloupe, 43 550 en Martinique, 3 500 à Saint-Martin, 680 cas à Saint-Barthélémy et 601 cas en Guyane.

 http://www.pavillon-orange.org/blog/wp-content/uploads/2014/02/Antilles_epidemie.png


Dans le même temps, les îles de la Caraïbe entrent dans la saison des pluies, propice à la reproduction du moustique vecteur, ce qui "fait craindre une augmentation du nombre de cas".
Des cas commencent à être signalés en Amérique Centrale ! 
Une grave épidémie de chikungunya a déjà frappé La Réunion il y a une dizaine d'années : entre décembre 2005 et décembre 2006, 266 000 personnes (soit environ 30% de la population) avaient été contaminées par le virus et 250 en étaient mortes.

 
http://www.franceinfo.fr/sites/default/files/styles/mea_635_350/public/asset/images/2014/06/insecticides.jpg?itok=aRpRYI5b


Qu'est-ce que le chikungunya ?

Le virus chikungunya (CHIK) est un arbovirus (Alphavirus de la famille des Togaviridae) à ARN thermosensible. 

Il a été isolé pour la première fois en Tanzanie et en Ouganda en 1953. 
Pour mémoire, le virus de la dengue (DEN), autre arbovirus, est un Flavivirus d'une famille différente.
En zones urbaines, où sont décrites la majorité des épidémies, la trans-mission se fait d'homme à homme par l'intermédiaire de moustiques du genre Aedes notamment (Aedes aegypti, albopictus, polynesiensis). 

Ce genre de moustiques transmet également la dengue.
A La Réunion, le moustique suspecté d'être le vecteur est Aedes albopictus. 

C'est un vecteur diurne avec un pic d'activité en début et en fin de journée. 
La transmission peut aussi être materno-fœtale. 
Ce fait n'avait pas été rapporté jusqu'à présent dans la littérature médicale internationale.

Comment se transmet le chikungunya ?

C’est un moustique, dit "tigre" à cause de son corps rayé noir et blanc, qui transmet le chikungunya aux humains en les piquant.


La transmission se fait d’homme à homme par l’intermédiaire du sang qui contient le virus et qui est transporté par le moustique. 
La personne est contagieuse dès qu’elle est piquée, même avant que n’apparaissent les premiers signes, qui arrivent en moyenne 4 à 7 jours plus tard.


Quels sont les signes ?

Il y a toujours de la fièvre et elle est souvent supérieure à 38,5°C !
Elle peut aussi s’accompagner de maux de tête, de nausées,
Dans certains cas, on ne sent pratiquement rien. 
Les symptômes du chikungunya sont pratiquement pareils que ceux de la Dengue.

1)- La Période d’incubation se caractérisée par l’apparition brutale d'un épisode fébrile durant 2 à 5 jours avec de forte fièvre (> 39°) et par des céphalées (frontales) intenses.
 
 http://www.ars.guyane.sante.fr/uploads/RTEmagicC_chik_illustration_symptomes.jpg.jpg

2)- Période d’état de la maladie :
Elle est caractérisée par les symptômes suivants :
- Arthralgie (douleur articulaire + rougeur) localisée aux épaules, genoux, chevilles, poignées, et petites articulations,
œdèmes articulaire et des membres inférieurs (jambes). L
es douleurs aux articulations et des courbatures peuvent être très fortes, obligeant les malades à marcher voûtés : d’où le nom de "chikungunya", qui signifie "la maladie de l’homme courbé". 
 - Myalgie (douleur musculaire) : tous ces signes entraînent pour beaucoup une perte de l'autonomie
- Éruption cutanée (visage, tronc, racine des membres), décollement de la peau et dermatoses bulleuses généralisées chez les bébés,
ou encore de boutons rouges qui font penser à une rougeole. 
 - Méningites et retentissement psychiques fréquent. Peut aussi s’accompagner de maux de tête, de nausées… 
- Les états dépressifs sont aggravés +++

La maladie peut se prolonger plusieurs mois, handicapant la personne atteinte qui ne peut plus travailler normalement et doit nécessité une aide à domicile pour ses activités quotidiennes ! 
http://www.leparisien.fr/images/2014/01/17/3503863_chikun.jpg 

La meilleure solution : la prévention
 

Si vous êtes dans une zone à risque, le meilleur moyen d’éviter le chikungunya est de vous protéger de la piqure du moustique tigre. 
Voici quelques gestes de prévention simples et efficaces :
- ne pas laisser de l’eau stagner dans les pots de fleurs ou les gouttières ;
- mettre des moustiquaires aux fenêtres ;
- utiliser des produits anti-moustiques sur la peau et en vaporiser sur les vêtements ;
- porter des vêtements à manches longues couvrant le corps au maximum ;
- couvrir les conteneurs d’eau domestique, les vider et les nettoyer une fois par semaine.
Une femelle pond environ 300 œufs tous les 4 jours !
- Il existe enfin des répulsifs naturels non nocifs : la citronnelle, la mélisse, le thym, la lavande, la géranium, le pyrèthre, à utiliser en huile essentielle diluée dans l’huile d’amande douce et appliqué sur la peau.
- Renforcer votre système immunitaire (Voir plus bas) !  

http://moustique-tigre.info/wp-content/uploads/2013/12/chikungunya-aedes-aegypti.jpg



Existe-t-il un traitement ?

Non Officiellement, il n’existe aucun traitement efficace contre le virus lui même. 
On peut seulement agir sur les symptômes de la maladie.
Il est recommandé de boire beaucoup d’eau, de prendre du paracétamol pour soulager la fièvre en respectant bien les délais entre les prises. (NDLR : normalement la fièvre est une réaction de défense de l'organisme vis à vis d'une infection. Elle freine la multiplication des virus et des bactéries qui supportent mal les hautes températures ! Donc il est inutile de réduire la température si elle ne dépasse pas 40°c).
Ne prenez surtout pas d’aspirine ou d’anti-inflammatoires (comme l’ibuprofène) qui augmentent les risques d’hémorragie.
La plupart des malades guérissent au bout d’une semaine, mais parfois les douleurs aux articulations peuvent persister plusieurs mois.
Ce virus, transmis à l'homme par des moustiques, provoque de fortes fièvres et des douleurs articulaires.
Cette maladie, contre laquelle il n'existe aucun traitement spécifique ni vaccin, peut s'avérer très handicapante. Comme la grippe saisonnière, elle peut être fatale pour des personnes affaiblies.
Après avoir émergé brutalement en novembre 2013, dans les îles françaises de Saint-Martin et Saint-Barthélemy, le virus s'est progressivement disséminé dans la région des Antilles.
L'épidémie touche aujourd'hui plusieurs pays des Caraïbes, tout particulièrement la Guadeloupe et la Martinique où elle risque de s'intensifier avec la saison des pluies qui entre juillet et novembre, favorisera la multiplication des moustiques, souligne l'Institut de veille sanitaire français.
- See more at: http://www.lematin.ma/express/2014/sante_le-chikungunya-une--menace-sanitaire-d-envergure--en-amerique-du-nord/205486.html#sthash.xXo0zRXh.dpuf

Oui en médecines alternatives :
Les seules actions à mettre en œuvre chez les patients seront de les rendre plus forts et de favoriser la production d’anticorps qui lutteront contre les virus.
Le seul remède qui est vraiment efficace contre les virus est le chlorure de magnésium qui a prouvé son action contre la polio, la méningite, la dengue, le chikungunya, le tétanos, la fièvre Ébola, les différentes grippes… car c'est un très bon stimulant de la production des anticorps !Voir Site sur le Chlorure de Magnésium : http://www.mgcl2.sitew.fr/

 




Le Protocole contre le Virus du Chikungunya :

• Protection des personnes non atteintes :

Ayez une alimentation riche en Magnésium pour favoriser votre système immunitaire.
Notre alimentation avec des éléments raffinés et une agriculture chimique manque de Magnésium ! 
Donc un organisme carencé en Magnésium aura un système immunitaire faible qui ne sera pas capable de lutter contre le virus du Chikungunya !

Nos besoins quotidiens en magnésium sont de 350 à 480 mg/jour - 400 mg/jour pour les femmes enceintes.
En période d'épidémie doubler ou tripler les doses !
 Voici une liste d'aliments contenant une grande proportion de magnésium :

  • Eau de mer : 1,3 gr par litre (Ne pas dépasser 1 verre par jour)
  • Sel de mer non raffiné : autour de 4000 mg/100g
  • Nigari en paillettes : 95% de Chlorure de Magnésium (MgCl2), reste de sulfate de Magnésium surtout
  • Algue marine : 2 500 mg/100g
  • Fruits de mer sont très riches en magnésium : 400 à 1800 mg/100gr
  • Germe de maïs : 550 mg/100g
  • Cacao en poudre : de 150 à 410 mg/100g
  • Germe de blé : 400 mg/100g
  • Pois cassé sec : 300 mg/100g
  • Amande sèche: 250 à 255 mg/100g
  • Mélasse : 197 à 242 mg/1000g
  • Germe d'orge : 225 mg/100g
  • Céréales complètes bio : 100 à 150 mg/100g
  • Caroube : 55 mg/100g
 Des plats et du pain bio préparés avec du sel complet gris apporteront déjà une bonne dose de Magnésium !
Les vitamines et les autres oligo-éléments sont aussi importants pour le fonctionnement du système immunitaire.
Évitez le sucre et les boissons sucrées !

En période d'épidémie il est bon de prendre en plus 1 à 2 grammes par jour de Chlorure de Magnésium pour renforcer votre système immunitaire !
Un système immunitaire très actif va neutraliser rapidement les virus injectés par les moustiques et donc vous ne tomberez pas malade, mais en plus vous ne transmettrez pas le virus à d'autres moustiques et donc vous réduirez l'épidémie !
La méthode pour stopper l'épidémie serait de renforcer le système immunitaire de toute la population avec du chlorure de magnésium, faisant disparaître les virus du sang et fournissant un sang sain aux moustiques ! 

• Pour les malades :
Dès l'établissement du diagnostic (En fait, dès que vous avez de la fièvre en période d'épidémie, vous pouvez commencer le traitement, à priori vous avez le virus ou un autre qui va aussi nécessiter ce même traitement) mettre 10 gr de chlorure de magnésium dans une bouteille de 1,5 ou 2 litres d'eau, faire boire un verre toute les 30 minutes, puis après 4 verres, toutes les heures jusqu'à consommation des 10 grammes. 

Répétez encore 2 ou 3 jours de suite !
Une diarrhée est une réaction normale au Chlorure de Magnésium.
Si le malade est trop faible pour boire, le Chlorure de Magnésium peut être injecté par intraveineuse (en plusieurs fois) ou par perfusion, son action sera plus rapide (Si l'état du malade est désespéré on peut doubler les doses préconisées ici, mais pas plus) ! 

Puis pendant les 4 jours suivants ce sera 5 grammes par jours ou la moitié d'une bouteille à 10 grammes de Chlorure de Magnésium.
Normalement après un semaine le malade se rétablit !
Pour que les anticorps continuent leur travail et suppriment tous les virus résiduels, le traitement sera prolongé sur 20 jours à raison d'une bouteille à 10 grammes de Chlorure de Magnésium pour 4 jours !
Après c'est le traitement d'entretien pour compenser les carences nutritionnelles en Magnésium :  1 gramme tous les 3 jours = 10 grammes de Chlorure de Magnésium dans le mois !


Ce traitement a parfaitement fonctionné lors de l'épidémie de La Réunion, bien sûr pour les personnes qui ont été informées !
Quelques fois, juste 20 gramme de Chlorure de Magnésium, en 1 ou 2 jours, pour faire partir les symptômes et permettre de reprendre le travail le lendemain ! 

Pécautions d'emploi :
Il est normalement déconseillé les hautes doses pour les personnes ayant des problèmes de reins, c'est à essayer en augmentant petit à petit les doses. 
La grande affinité et solubilité du chlorure de Magnésium dans l'eau font qu'il est éliminé facilement par les reins !
Les très hautes doses (à partir de 10 gr par jour) vont surtout provoquer des diarrhées !  
Comme autres effets secondaires, il y a la disparition des douleurs articulaires !



 
 

• Pour les vacanciers vers les Antilles et l'Amérique centrale :
Il est prévu 400.000 vacanciers dans les Antilles cet été !

Si c'est votre cas, renforcez vos défenses 4-5 jours avant de partir avec 2 grammes de Chlorure de Magnésium par jour et poursuivre ce traitement sur place pendant votre séjour. 
N'oubliez pas d'apporter des sachets de Chlorure de Magnésium pour vos amis, c'est le meilleur cadeau à faire dans ces Îles et pays où ce produit n'est pas toujours disponible (En période d'épidémie les pharmacie sont dévalisées) ! 
Avec ce traitement, en principe vous passerez un séjour sans soucis, même avec des piqures de moustiques, car votre système immunitaire sera prêt pour dévorer les méchants virus !

Ce traitement simple n'est pas proposé par la médecine officielle car c'est un produit très peu coûteux !

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