Saturday, 31 May 2014

Smoothie à la Framboise


Bonjour, aujourd’hui je vous propose un succulent smoothie à la framboise légèrement aromatisée à l’orange. Ce smoothie est antioxydant, il est une bonne source de fibres, il est tonique et il facilite la digestion.

Cliquez sur la photo pour accéder à la recette »

Combien de temps doit durer une sieste !

Combien de temps doit durer une sieste pour en tirer les meilleurs bienfaits sur le cerveau ?



sieste-au-bureau


Faire la sieste, nous l’avons vu maintes et maintes fois, c’est comme redémarrer votre cerveau. 
Tout le monde aime faire une petite sieste de temps en temps, mais faire une sieste peut être aussi bien un art qu’une science. 
Le Wall Street Journal propose des recommandations pour la planification de sieste parfaite, y compris la durée de la sieste et à quel moment.

Les experts du sommeil disent dans l’article que si vous faire une petite sieste de 10 à 20 minutes vous en tirerez le meilleur profit, mais en fonction de la sieste que vous recherchez pour vous, d’autres durées peuvent être idéales. 
Pour un coup de pouce rapide de l’éveil/ concentration/ vigilance, les experts disent qu’une petite sieste de 10 à 20 minutes est suffisante pour se remettre au travail rapidement/en un clin d’œil/ en un claquement de doigt

Pour le traitement de la mémoire cognitive, cependant, une sieste de 60 minutes peut vous faire plus de bien, a déclaré le Dr Mednick. 
Y compris le sommeil profond à onde lentes permet de se remémorer des souvenirs, des lieux et des visages. L’inconvénient : un peu de somnolence au réveil.

Si vous faite une sieste de plus de 30 minutes, vous vous retrouvez dans un sommeil profond. 
Avez-vous déjà fait une sieste et vous êtes senti pire quand vous vous êtes réveillé ? 
C’est ce qui se passe, vous dormez trop longtemps et vous entrez dans une phase de sommeil dont il est très difficile de sortir selon le Dr Michael Breus.


sommeil


Enfin, la sieste de 90 minutes  impliquera probablement un cycle complet de sommeil, ce qui favorise la créativité et la mémoire procédurale et émotionnelle, comme apprendre à faire du vélo. 
Se réveiller après un sommeil paradoxal signifie généralement une quantité minimale de l’inertie du sommeil a déclaré le Dr. Medneck

En fait, une publiée dans PubMed en 2002 a révélé qu’une sieste, même de 5 ou 10 minutes crée un sens élevé de vivacité/ concentration/ éveil et une augmentation de l’aptitude cognitive par rapport à si vous ne faites pas de sieste. 
Donc si vous voulez recharger les batteries rapidement faites une sieste de 10-20 minutes, et pour un rajeunissement profond du sommeil.
En plus de ces recommandations, une suggestion étonnante est de s’asseoir légèrement redressé pendant votre sieste, car ça vous aidera à éviter de tomber dans un profond sommeil. 
Et si vous vous retrouvez à rêver lors de vos siestes cela peut être un signe de manque de sommeil.
Porté à votre conscience par Arcturius,
Recherche et transmission par Michel / Arcturius.

Friday, 30 May 2014

Remèdes naturels anti poux !

Remèdes naturels anti poux : éliminer les lentes !

Voici quelques astuces pour lutter contre eux avec des produits naturels.


poux
 
 Rédigé par Anne-Gaëlle Blot


Parmi les poux parasitant l'homme, on différencie les poux de pubis et les poux de tête (Pediculus humanus capitis). 
Une trop grande prolifération de poux de tête aboutit à une infestation du corps: les poux sont alors nommés poux de corps (Pediculus humanus corporis). 
Ces derniers se nourrissent sur l'ensemble du corps et vivent dans les plis des vêtements peu ou pas lavés.
Une parasitose du cuir chevelu amène des désagréments divers, dus à une réaction à la salive du pou, allant de la simple démangeaison à la surinfection (impétigo) ou aux lésions de forme eczémateuse sur la nuque ou les épaules.



Mode de vie du pou de tête

Ce parasite des têtes humaines se nourrit de sang prélevé exclusivement sur le cuir chevelu et pond sur les cheveux. 
Il ne saute pas et se déplace à la vitesse de 25 cm par minute. 
Il change d'hôte au contact d'une autre chevelure ou lors d'échange d'habits (bonnet, casquette, écharpe...). 
À ce jour, la preuve de la contamination par l'eau des piscines n'a pas été faite ; cependant, les poux ont la capacité de survivre dans l'eau. 
Par contre, il ne peut survivre plus de 36 heures loin du cuir chevelu. 
Les corps gras et huileux l'asphyxient. 
La présence de poux n'est pas le signe marqueur d'un manque d'hygiène.
 
 

Les femelles pondent sur les cheveux. 
Les lentes avant éclosion sont situées à moins de 5 mm du cuir chevelu. 


 
Elles sont lisses et brillantes, brunes, de forme ovale. 




3 semaines après l'éclosion, elles restent collées au cheveu, mais sont blanches.
Il s'écoule 10 jours entre la ponte et l'éclosion. 
Les parasites sont matures pour se reproduire 14 jours après l'éclosion.



Comment prévenir une contamination avec des moyens naturels

Deux gestes simples permettent d'éviter la contamination.

  • Utiliser des huiles essentielles répulsives : les huiles essentielles de lavande et de "tea tree" ont une réelle efficacité répulsive contre les poux. Il suffit d'en mélanger quelques gouttes à une huile neutre (amande douce ou noisette) et de mettre un peu de ce mélange juste derrière l'oreille. On peut aussi en vaporiser les écharpes et couvre-chefs. L'article suivant fait le point sur le bon usage des huiles essentielles : antibiotiques.suite101.fr/article.cfm/laromatherapie

  • Procéder à un peignage soigneux au moins une fois par semaine sur cheveux mouillés. La méthode peut paraître surannée, pourtant, elle est très efficace. Après un shampoing, on passe la chevelure mèche par mèche au peigne en métal spécial poux. À noter que souvent les pontes se font à proximité de la nuque ou des oreilles.

 

Éliminer les poux naturellement

Démangeaisons, lentes vivantes et peut-être même un pou vivant ont-ils pu être observés sur une tête : il est maintenant temps de mettre en place toutes les mesures possibles pour se débarrasser de cet indésirable.
Les produits antipoux chimiques sont très nocifs, tant pour l'être humain (à plus forte raison les enfants) que pour l'environnement (Ils contiennent des insecticides chimiques nocifs pour le système nerveux et certains ne sont plus autorisés en agriculture comme le lindane !). 
Mais il est tout à fait possible de lutter contre ces parasites avec des méthodes et produits naturels.
 
peigne-anti-poux-electrique

  • Le peigne électrique : cet appareil électrocute le pou ou la lente dès qu'ils sont en contact. Le courant, très faible n'est absolument pas ressenti par la personne. Un signal sonore permet de savoir s'il y a eu "des victimes". La contrainte de cette méthode est qu'elle oblige à un peignage quotidien, sur cheveux secs, durant 12 jours. Généralement les fabricants déconseillent l'utilisation en dessous de l'âge de trois ans. Cette réserve faite, son utilisation est très simple et donne d'excellents résultats; elle est tout à fait recommandée pour toutes les personnes allergiques ou asthmatiques.

  • Une lotion pour tuer les parasites : il convient de mélanger 75 ml d'eau, 25 ml d'huile végétale, 1cuil. à café d'huile essentielle de lavande et de tea tree. Cette lotion est frictionnée sur l'ensemble de la chevelure et du cuir chevelu et reste posée durant une heure. Après, il faut laver les cheveux. Cette opération doit être répétée tous les trois jours. L'action combinée de l'huile végétale qui asphyxie les poux et des huiles essentielles antiparasitaires est redoutable... pour les poux !


    • Un shampoing maison anti poux : en parallèle avec la lotion, durant une quinzaine de jours (en fait pour couvrir le cycle complet de vie des poux), il faut se laver les cheveux quotidiennement avec un shampoing doux (base lavante neutre) contenant 20 à 60 gouttes d'huile essentielle de lavande et/ou tea tree pour 100ml de shampoing.

    • Les huiles ou le beurre de karité: des études ont montré que le beurre de karité ou les huiles végétales, sont tout à fait efficaces, les poux mourant asphyxiés. Cependant, l'application est à refaire huit jours après, car les lentes ne sont pas tuées.

    • L'épouillage: cette méthode ancestrale peut sembler archaïque, pourtant son efficacité est probante. Il faut respecter certaines règles : peigner la chevelure mouillée durant 30 minutes, trois fois puis deux fois par jour durant trois semaines. Cette méthode est recommandée par les autorités sanitaires en Grande-Bretagne pour les enfants de moins de six mois, les femmes enceintes et les patients asthmatiques.


      • Éliminer les poux de l'environnement domestique : les poux pouvant survivre jusqu'à 36 heures hors d'une tête, il vaut mieux, dès les premiers soins, prendre des mesures radicales concernant l'environnement. Nul besoin de vaporiser des insecticides ou autres antiparasites dans l'atmosphère. Il faut simplement laver toute la literie (draps, taies d'oreiller, mais aussi oreiller, couette ou couvertures), ne pas oublier les peluches dans les lits d'enfants, les manteaux, bonnets, écharpes... Bref, éradiquer les poux demande d'avoir une machine à laver très robuste, surtout pour les familles nombreuses... car c'est la literie et les vêtements de toute la famille, même des personnes à priori non contaminées, qui doivent être lavés ! Pour les tissus ne résistant pas à un lavage à 60°C, un petit séjour de 24 heures au congélateur permettra également de tuer les poux.


      http://suite101.fr/

        Posté par SASHAH
        http://www.rentrer.fr/

        La mémoire évolue lorsqu'on s'en sert !

        Les souvenirs seraient transformés chaque fois qu'ils sont évoqués !
         
         



        Les souvenirs seraient modifiés chaque fois qu'ils sont évoqués, selon une théorie présentée par le psychologue Morris Moscovitch de l'Université de Toronto au congrès annuel de l'Association canadienne des neurosciences.
        Les recherches du Pr Moscovitch et d'autres ont montré des différences entre ce qui est appelé la 
        mémoire épisodique, qui est une de mémoire autobiographique riche en détails contextuels et qui dépend de l'hippocampe, et la mémoire sémantique qui dépend principalement du néocortex, et qui est une mémoire plus générale, ne gardant que l'essentiel de la mémoire épisodique initiale.

        "Les études chez l'animal et chez l'homme ont montré que l'hippocampe, une région du cerveau située profondément à l'intérieur du cerveau, joue un rôle central dans la mémoire épisodique à court et long terme

        Des patients ayant subi une perte de l'hippocampe, dont les célèbres Henry Molaison (le patient HM) et Kent Cochrane (le patient KC), se sont avérés incapables d'enregistrer de nouveaux souvenirs, mais ils ont conservé la capacité de se rappeler d'événements antérieurs d'une façon générale, schématique."
         


        En étudiant comment les riches souvenirs récents sont convertis en souvenirs plus sommaires avec le temps, le Pr Moscovitch a élaboré une théorie qu'il a appelé la théorie des traces multiples / transformation.

        Selon cette dernière, "chaque fois qu'un souvenir épisodique est récupéré, il est automatiquement ré-encodé par l'hippocampe avec le nouveau contexte dans lequel la récupération se produit

        Au fil du temps, et à chaque récupération, de multiples traces du souvenir s'accumulent ; le néocortex extrait les similitudes entre ces traces pour former un souvenir généralisé, le souvenir sémantique. 
        Par ce processus, le souvenir se transforme au fil du temps, d'un souvenir essentiellement dépendant de l'hippocampe, riche en contexte, à un souvenir plus général, un enregistrement des éléments essentiels, qui capture l'essence du souvenir épisodique initial."
         

         La mémoire est assurée par des connexions spécifiques entre certains neurones. C’est pourquoi les programmes de « gym-cerveau » ne sont que des jeux. © DR


        Le Dr Moscovitch a présenté des résultats qui montrent que ces processus s'appliquent aux souvenirs des lieux et de l'environnement. 
         Initialement dépendants de l'hippocampe, ils sont transformés et deviennent des souvenirs schématiques qui peuvent être récupérés sans l'implication de l'hippocampe.
        Il était auparavant considéré que l'hippocampe était toujours impliquée dans le souvenir des lieux.



        Source :
        http://www.wikistrike.com/2014/05/les-souvenirs-seraient-transformes-chaque-fois-qu-ils-sont-evoques.html


        Wednesday, 28 May 2014

        Les 10 symptômes de l’insuffisance rénale !

        Les 10 symptômes de l’insuffisance rénale et les moyens de la corriger !

         

        Insuffisance-rénale

        Il arrive parfois que nous commencions à ressentir de légers symptômes auxquels nous ne prêtons pas attention :
        une envie pressante d’uriner, une douleur localisée sur un côté du dos, de la fatigue… 
        L’insuffisance rénale peut donner des signes que l’on doit savoir reconnaître afin de prendre des mesures au plus vite et pour permettre à nos reins de continuer à remplir leur fonction qui est essentielle.
        Lorsque l’on parle d’insuffisance rénale, on fait référence à un problème bien précis concernant le fonctionnement des deux reins (ou de l’un d’eux, si le patient n’a qu’un rein). 
        Lorsque les reins ne fonctionnent pas correctement, de nombreux troubles apparaîssent ; des altérations qui dépendent du type de l’insuffisance rénale, si elle est aiguë ou chronique. 


         Voyons tout cela en détail !

        Les symptômes de l’insuffisance rénale


         

         

        1. Des variations dans les urines

        Il s’agit du symptôme le plus courant et en général le premier qui apparaît lors d’une insuffisance rénale. Certes, il peut aussi être le signe d’une autre pathologie, mais il nous alerte toutefois sur l’existence d’une anomalie et nous indique qu’il faut consulter un médecin.
        • Une envie pressante d’uriner : on urine plus souvent et l’on doit même se lever plusieurs fois dans la nuit.
        • Des altérations de l’urine : l’urine est plus claire ou plus foncée, ou le volume d’urine est très réduit… La présence de sang dans les urines est également fréquente.
        • On ressent une pression.

        2. Des gonflements

        Les patients qui souffrent d’insuffisance rénale ne peuvent pas se débarrasser de l’excès de liquide de l’organisme.  
        Les reins ne sont plus capables de filtrer normalement les liquides qui ont alors tendance à s’accumuler. 
         est normal que les jambes gonflent ainsi que les chevilles, les pieds et même le visage. 
        Nombreux sont ceux qui, par exemple, n’arrivent plus à mettre leurs chaussures… 
        Il s’agit donc d’un symptôme très évident !

        3. De la fatigue

        Fatigue

        Les personnes qui ont les reins en bonne santé produisent de l’erythropoïétine, une hormone responsable de la production des globules rouges qui se chargent de transporter l’oxygène dans le sang. 
        Mais lorsque l’on souffre d’insuffisance rénale, cette hormone est produite en plus petites quantités et nos muscles, et même notre cerveau, commencent à se fatiguer en raison du manque d’oxygène. 
        Il s’agit d’un type d’anémie associé à l’insuffisance rénale.
        Il est courant, par exemple, d’avoir très envie de dormir, de se sentir épuisé.

        4. Des éruptions cutanées

        Étant donné qu’ils ne peuvent pas éliminer correctement les déchets contenus dans le sang, les reins cessent peu à peu d’assumer leur fonction ; en conséquence, les toxines et autres résidus s’accumulent dans l’organisme. 
        Ceci se traduit par des picotements et par un malaise qui se généralise, une gêne intérieure telle que l’on ne peut pas éviter de se gratter sans arrêt.

        5. Un goût métallique dans la bouche

        L’accumulation de déchets dans le sang (appelée urémie) fait en sorte que le goût des aliments que nous avons l’habitude de consommer soit modifié. 
        Il arrive même que l’on ne ressente plus aucun plaisir en mangeant, car la viande n’a plus un goût de viande et les aliments sucrés ne sont plus aussi savoureux… 
        Il est donc habituel de perdre du poids peu à peu. 
        La difficulté qu’ont les reins à éliminer les déchets cause de nombreux effets secondaires, et ce mauvais goût dans la bouche est fréquent ; d’ailleurs, les patients disent souvent qu’ils ont "un goût de fer" dans la bouche.

        6. Des nausées et des vomissements

        Une fois de plus, l’excès de déchets contenus dans le sang provoque une réaction de notre organisme, suscitée par l’urémie. 
        Des vomissements commencent à se produire, un malaise général, des nausées et une perte de poids qui en découle. 
        L’estomac, lui aussi, se sent rassasié alors qu’en réalité il ne l’est pas, et l’on se sent lourd et lent…

        7. Un manque de souffle

        Il devient difficile de reprendre son souffle après une activité telle que monter des escaliers, courir, ou même marcher un peu plus vite que d’habitude.
        Il y a deux causes à cela : un excès de liquide dans l’organisme, et ce liquide peut s’accumuler dans les poumons et provoquer une difficulté de la respiration. 
        Et la présence d’une anémie associée à cette insuffisance rénale fait en sorte qu’il soit encore plus difficile qu’avant de reprendre son souffle.
        Les patients se plaignent même de ne pas pouvoir dormir la nuit, et disent qu’ils ont l’impression d’étouffer ou de ne pas pouvoir respirer même lorsqu’ils se reposent.

        8. Une sensation de froid

        L’anémie nous rend plus frileux que d’ordinaire. 
        C’est un symptôme très caractéristique de l’insuffisance rénale.

        9. Des problèmes de concentration

        En raison des problèmes circulatoires, du sang qui est mal filtré et de l’altération de la sécrétion de l’hormone érythropoïétine, l’oxygène n’arrive pas au cerveau de façon normale et celui-ci n’obtient donc pas l’énergie suffisante : apparaissent alors des problèmes deconcentration. Il devient plus difficile de se concentrer, on se sent fatigué et cela donne même des vertiges. 
        Il est alors habituel d’avoir de petits oublis.

        10. Des douleurs sur le côté et à une jambe

        Douleur sur le côté


        Certaines personnes ayant des problèmes de reins ressentent une douleur dans le dos ou sur le côté, un symptôme qui nous fait parfois penser erronément à d’autres affections. 
        Il s’agit d’une douleur qui s’étend depuis l’un des deux côtés du corps jusqu’à la jambe, une douleur très aiguë qui nous empêche parfois de mener une vie normale. 
        Il est probable que ce symptôme soit lié à la polykystose rénale, une maladie qui entraîne la formation de kystes remplis de liquide dans les reins et même dans le foie, et qui est très douloureuse.

        Comment prévenir l’insuffisance rénale ?

        Dans de nombreux cas, l’insuffisance rénale est due à des facteurs génétiques, mais il faut tenir compte du fait qu’un style de vie sain et une bonne alimentation peuvent prévenir cette dangereuse maladie dans 60% des cas.  
        Comment y parvenir ? 
        Évitez le surpoids,l’hypertension, le cholestérol, marchez au moins une heure par jour, et surtout, tenez compte des règles d’alimentation suivantes :
        • Évitez les viandes rouges (et de façon plus générale toutes les protéines d’origine animale).
        • Évitez les produits laitiers et les œufs.
        • Évitez les boissons gazeuses et sucrées (les reins souffrent beaucoup pour les filtrer).
        • Évitez le tabac, le café et l’alcool.
        • Consommez deux litres d’eau par jour, et augmentez votre consommation de fruits et de légumes, aussi bien crus que cuits !
        • Prenez des Bonnes habitudes 

        Posté par SASHAH  sur http://www.rentrer.fr/
        Source : http://amelioretasante.com/

        Tuesday, 27 May 2014

        La maladie de Lyme : une maladie invalidante !



        La maladie de Lyme : Borréliose de Lyme !

         


         

        Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Lyme. Elle ne se substitue pas à une consultation médicale. 
        Elle a pour but de favoriser le dialogue avec votre médecin.  
        N’hésitez  pas à lui faire préciser les points qui ne vous paraîtraient pas suffisamment clairs et à demander des informations supplémentaires sur votre cas particulier. 
        En effet, certaines informations contenues dans cette fiche peuvent ne pas être adaptées à votre cas : il faut se rappeler que chaque patient est particulier. 
        Seul le médecin peut donner une information individualisée et adaptée. 
        Les informations rapportées ici sont issues de l’Encyclopédie Orphanet Grand Public de mars 2008 – www.orpha.net/data/patho/Pub/fr/Lyme-FRfrPub12159v01.pdf – (document réalisé par Orphanet avec la collaboration du Pr Daniel Christmann, service des maladies infectieuses et tropicales, CHU Hôpital Civil – Hôpitaux universitaires de Strasbourg, Strasbourg).

         Qu’est-ce que la maladie de Lyme ?

        La maladie de Lyme est une maladie infectieuse due à une bactérie (Borrelia, dont il existe plusieurs espèces) transmise à l’homme par l’intermédiaire d’une piqûre de tique. 
        Cette maladie peut toucher plusieurs organes, principalement la peau, les articulations et le système nerveux. 
        Bien que déjà observée depuis de très nombreuses années en Europe, cette maladie a été décrite en 1975 suite à de nombreux cas d’arthrite (inflammation des articulations) chez des enfants et des adultes dans une ville du Connecticut aux États-Unis (Lyme).

        Combien de personnes sont atteintes de la maladie ?

        La prévalence (nombre de personnes atteintes dans une population donnée) et l’incidence (nombre de nouveaux cas par an dans une population donnée) sont différentes suivant les régions du monde. 
        Aux États-Unis, la prévalence se situe entre 1 personne atteinte sur 12.000 et 1 sur 17.000. 
        En France, l’incidence est mal connue et varie d’une région à l’autre. 
        L’incidence moyenne serait de l’ordre de 1 nouveau cas et pour 6 000 habitants par an. 
        Il semblerait toutefois que de nombreux cas ne soient pas diagnostiqués.

         

         

        Qui peut en être atteint ? 

        Est-elle présente partout en France ?

        Cette maladie peut toucher les personnes de tout âge. 
        Cependant, elle atteint préférentiellement les adultes jeunes (travailleurs en forêt, randonneurs, etc.) 
        Elle est présente sur tous les continents, mais elle est plus répandue dans les régions tempérées et froides de l’hémisphère Nord (de l’Amérique du Nord à la Chine). 
        En effet, les tiques sont plus nombreuses dans les régions boisées. 
        Elle est présente en Europe et en France et plus particulièrement dans les régions de l’est.

        A quoi est-elle due ?

        La maladie de Lyme est due à une infection par une bactérie appartenant à la famille des Borrelia. 
        Borrelia burgdorferi (B. burgdorferi) semble actuellement la seule souche aux USA. 
        En Europe en plus de B. burgdorferi, d’autres souches de Borrelia peuvent être responsables de la maladie de Lyme avec des symptômes un peu différents (B. garinii, B. afzelii, B. spielmanii, B. valaisiana,…). 
        Cette bactérie est transmise à l’homme par l’intermédiaire d’une piqûre de tique infectée. 
        Le taux de contamination des tiques est variable d’une région à l’autre, et parfois au sein d’une même région, allant de 5 à 35 %, par conséquent une piqûre de tique n’entraîne pas obligatoirement une maladie de Lyme. 
        Les tiques qui, appartiennent au genre Ixodes, se contaminent en parasitant les animaux sauvages et domestiques (elles se nourrissent du sang de ces animaux) qui sont les principaux réservoirs de cette bactérie : les rongeurs, le gros gibier (cerfs, etc.…) et les oiseaux dans une moindre mesure, ainsi que les animaux domestiques (chien, cheval…). 
        La plupart de ces animaux ne développent pas la maladie. 
        La tique ainsi infectée peut donc transmettre la bactérie à l’homme lors d’une piqûre. 
         Lors de la piqûre, la bactérie se distribue dans la peau puis dans le sang et les tissus. Il faut savoir qu’une personne infectée suite à une piqûre de tique, ne développe pas forcément la maladie. 
        Par ailleurs, plus la durée de fixation de la tique est longue (en particulier au delà de 24 heures) plus le risque de transmission est grand. 
        L’homme contracte principalement la maladie du printemps à l’automne, lors de balades en forêt, lorsque les tiques ou les nymphes (jeunes tiques) sont nombreuses. 

        Est-elle contagieuse ?

        Non, il n’y a pas de cas de contamination interhumaine.

         

        Quelles en sont les manifestations ?

        On distingue trois phases dans l’évolution de la maladie.

         

         http://www.lamontagne.fr/photoSRC/bqUyVelNbWe1aAxBwXruFG8LIKncgI5EqzxysNngmzhLQqc95EY68d5L1WxH7gOSe4AgvLt9FhffSVHCrA9xuoG6bA--_/1212875.jpeg

         

        La phase primaire

        Elle apparaît environ 2 à 32 jours après la piqûre de tique et la principale manifestation est une lésion au niveau de la peau appelée érythème chronique migrant (ou érythème migrant) (Figure 3) qui se situe au niveau de la piqûre de tique. 
        Il s’agit d’un "halo" rouge qui s’étend lentement de façon centrifuge (du centre vers la périphérie) alors que le centre s’éclaircit. 
        Son diamètre peut varier de 3 à à plusieurs dizaines de centimètres (en moyenne 15 cm). 
        Cette rougeur (érythème) n’est pas douloureuse et disparaît spontanément en quelques semaines. 
        Elle n’est pas toujours présente (dans 30 à 50 % des cas) ou peut passer inaperçue. 
        Exemple d’érythèmes migrants (http://www.tiquatac.org
        D’autres manifestations peuvent être associées à cette rougeur, comme une fièvre modérée, de la fatigue (asthénie), des douleurs musculaires (myalgies) et des maux de tête (dans 25 % des cas environ).

        La phase secondaire

        Dans un deuxième temps, la bactérie peut disséminer par voie sanguine et entraîner des complications, en l’absence de traitement. 
        Des manifestations au niveau de la peau (cutanées), des articulations (articulaires), du système nerveux (nerveuses), ou du cœur (cardiaques) peuvent apparaître. 
        Ces manifestations surviennent quelques jours à quelques semaines après la phase primaire mais sont parfois présentes en même temps que l’érythème chronique migrant. 
        Cette phase peut guérir spontanément ou évoluer vers la phase suivante. 
        Il faut savoir que les diverses manifestations décrites ci-dessous ne sont généralement pas toutes présentes chez une même personne.

        Les manifestations cutanées

        Les manifestations cutanées sont principalement l’érythème chronique migrant multiple qui peut être présent sur tout le corps et évoluer par poussées. 
        Il s’agit d’une atteinte fréquente aux USA, rare en Europe. 
        Un lymphocytome cutané bénin peut également survenir à ce stade. 
        Il s’agit d’une petite lésion saillante de la peau (nodule) de 1 à 2 cm de diamètre et rouge-violacé siégeant principalement sur le lobe de l’oreille (Figure 4), le mamelon, le scrotum.

         Les manifestations articulaires

        Il s’agit de douleurs au niveau des articulations (arthralgies) ; la douleur peut durer plusieurs jours et toucher une ou plusieurs articulations. 
        Des inflammations articulaires (arthrites) peuvent également se manifester plus tardivement. 
        Elles touchent principalement les grosses articulations (genoux, épaules,…) et évoluent par poussées. 
        Elles peuvent guérir spontanément.

        Les manifestations nerveuses

        Des signes nerveux peuvent également survenir et ils sont assez variés : maux de tête (céphalées), douleurs le long des trajets des nerfs (névralgies), atteinte des racines des nerfs (radiculite hyperalgique, "radiculite à tiques") qui donne de fortes douleurs qui ne cèdent pas avec les médicaments habituels contre la douleur (antalgiques), paralysie faciale (paralysie des muscles d’une moitié du visage) (Figure 5), méningite lymphocytaire (inflammation des enveloppes du cerveau), …..

        Les manifestations cardiaques

        Certaines personnes peuvent également présenter des problèmes cardiaques, essentiellement des troubles du rythme ou de conduction (palpitations, ralentissement du rythme des battements) et plus rarement une inflammation de l’enveloppe du cœur (péricardite) ou une inflammation du muscle cardiaque (myocardite). 
        Ces manifestations sont intermittentes et guérissent souvent spontanément.

        Les manifestations oculaires

        Plus rarement, une atteinte des yeux survient et elle peut se caractériser par une inflammation de la conjonctive (conjonctivite), responsable d’une rougeur de l’œil. 
        Une inflammation de la cornée (kératite) ou une inflammation de l’uvée (uvéite) peuvent également survenir et être à l’origine d’un œil rouge, de douleurs, de larmoiements, d’intolérance à la lumière (photophobie) et d’une possible baisse de vision.

        La phase tertiaire

        La phase tertiaire ou tardive de la maladie de Lyme correspond à une évolution chronique des symptômes. 
        Cette situation est moins fréquente, s’observe en l’absence de traitement après quelques mois à quelques années. 
        Les principales manifestations de cette phase sont cutanées, articulaires et nerveuses.

        Les manifestations cutanées

        Les manifestations cutanées de la phase tardive de la maladie de Lyme sont caractérisées par l’acrodermite chronique atrophiante, également appelée maladie de Pick-Herxheimer. 
        Cette maladie apparaît plusieurs années après la contamination et se traduit par une lésion violacée et gonflé qui se situe principalement sur le dos des mains, aux coudes, aux chevilles, aux genoux, ou sur un segment du membre (jambe)… 
        Il évolue ensuite vers une atrophie cutanée : la peau devient mince et fripée et laisse apercevoir les veines en transparence.

        Les manifestations articulaires

        Dans la phase tardive, l’arthrite devient chronique et touche principalement les grosses articulations. 
        Elle occasionne des douleurs durables avec des anomalies à la radiographie.

        Les manifestations nerveuses

        Elles peuvent donner une atteinte du cerveau (encéphalopathie chronique) avec des troubles psychiatriques ou neurologiques divers.

        Quelle est son évolution ?

        Comme vu précédemment, l’évolution de la maladie de Lyme peut se faire schématiquement en trois phases. 
        Cependant, même en l’absence de traitement, elle évolue peu souvent vers la phase tertiaire. 
        Le pronostic de cette maladie est favorable lorsqu’elle est convenablement traitée. 

        Le diagnostic
        Comment fait-on le diagnostic de la maladie de Lyme ? 
        En quoi consistent les tests diagnostiques et les examens complémentaires ? 
        A quoi vont-ils servir ?

        Les médecins font le diagnostic après avoir examiné, la personne atteinte et grâce à un interrogatoire précis : présence du "halo rouge" (érythème chronique migrant), souvenir d’une piqûre de tique, … 
        Ce diagnostic peut être difficile à faire quand il n’y a pas eu l’érythème chronique migrant et que la piqûre de tique est passée inaperçue. 
        De plus les symptômes de cette maladie sont très variés et peuvent faire penser à de nombreuses autres maladies. 
        La numération formule sanguine (NFS) ou hémogramme est le plus souvent normale ainsi que la vitesse de sédimentation qui est peu élevée. 
        La NFS est un examen réalisé par prise de sang qui permet de mesurer le nombre d’éléments de chacune des trois catégories de cellules sanguines que sont les globules rouges (hématies), les globules blancs (leucocytes) et les plaquettes. 
        La vitesse de sédimentation est le temps nécessaire aux éléments cellulaires sanguins (globules blancs, globules rouges et plaquettes) pour sédimenter au bas d’une colonne de sang incapable de coaguler (grâce à l’anticoagulant utilisé pour le prélèvement). 
        C’est un élément d’orientation diagnostique, non spécifique mais simple à réaliser, influencé par le nombre de globules rouges et leur volume, le taux de certaines protéines, la viscosité du sang. 
        Cette vitesse de sédimentation est élevée dans divers processus inflammatoires. 
        Afin de préciser le diagnostic, il est possible de réaliser des examens (sérologie de Lyme) pouvant mettre en évidence dans le sang des anticorps montrant une réponse de l’organisme à l’infection bactérienne. 
        Un certain nombre de techniques sont utilisées mais elles ne sont pas standardisées et les résultats sont parfois difficilement interprétables. 
        Le résultat est souvent négatif dans la première phase de la maladie et positif dans les phases secondaires et tertiaires. 
         Cependant une sérologie positive peut correspondre à une infection ancienne mais non évolutive (c’est-à-dire que la personne a contracté l’infection mais la maladie n’évolue plus). 
        Par ailleurs, il est possible dans quelques cas que la sérologie soit négative alors même qu’il y a eu infection. 
        Un examen par PCR (Polymerase Chain Reaction), technique, qui permet de mettre en évidence l’ADN (patrimoine génétique) de la bactérie, peut également être réalisée dans certaines situations. 
        En cas d’atteinte du système nerveux, la recherche d’anticorps dans le liquide qui entoure le cerveau (liquide céphalo-rachidien) par ponction lombaire peut (dans le bas du dos) aider à poser le diagnostic. 

        Peut-on confondre cette maladie avec d’autres ? 
        Lesquelles ? 
        Comment faire la différence ?

        Les symptômes de cette maladie sont assez variés ce qui peut rendre le diagnostic difficile. 
        Les manifestations cutanées présentes lors de la phase primaire ou secondaire peuvent être confondues avec d’autres problèmes tels qu’une mycose (infection de la peau due à un champignon) ou une réaction inflammatoire à une piqûre d’insecte… 
        La maladie de Lyme peut également être confondue avec d’autres pathologies telles que le lupus, les infections virales, la sclérose en plaques, la fibromyalgie… 


        Le traitement, la prise en charge, la prévention

        Existe-t-il un traitement pour cette pathologie ? 
        Quels bénéfices attendre du traitement ? 
        Quels sont les risques du traitement ?

        Oui, il existe un traitement curatif de cette maladie qui repose sur la prise d’antibiotiques. 
        Plus ce traitement antibiotique est administré rapidement, plus il est efficace. 
        Les doses, ainsi que le type d’antibiotiques sont à adapter au stade et aux manifestations de la maladie. 
        Dans la phase primaire de la maladie (traitement de l’érythème chronique migrant), le traitement repose sur l’administration d’antibiotiques de la classe des Bêta-lactamines (principalement amoxicilline) ou des cyclines pendant deux à trois semaines. 
        Ces antibiotiques ont une bonne diffusion dans les tissus ce qui permet d’atteindre les zones infectées, le but étant de faire disparaître les symptômes et de prévenir l’apparition des manifestations tardives. 
        Dans les phases tardives, les céphalosporines dites de 3ème  génération peuvent être utilisées, mais doivent être administrées par voie intraveineuse (patients hospitalisés). 
        Ils permettent l’atténuation voire la disparition des symptômes. 
        Ces antibiotiques sont habituellement bien tolérés mais peuvent parfois être à l’origine, dans de rares cas, d’allergies. 
        Les macrolides ou tétracyclines peuvent également être utilisés, notamment en cas d’allergies aux précédents antibiotiques. 
        Ils présentent cependant certains effets secondaires : problèmes digestifs, problèmes de sensibilité accrue au soleil (photosensibilité), interactions médicamenteuses et sont, pour certains, contre-indiqués chez les femmes enceintes et les enfants. Les arthrites chroniques qui ne sont pas soulagées par le traitement antibiotique, peuvent être traitées par synoviorthèse (traitement d’une affection inflammatoire articulaire, à l’aide d’une injection de produit faite dans l’articulation) ou synovectomie (enlèvement chirurgical de la synoviale (membrane qui tapisse l’intérieur des articulations) au niveau des articulations atteintes). 
        A l’heure actuelle, il existe une certaine "standardisation" au niveau de la prise en charge de cette maladie avec des recommandations qui ont été proposées à la Conférence de Consensus de décembre 2006.

        Un soutien psychologique est-il souhaitable ?

        Dans les cas où la maladie devient chronique, un soutien psychologique peut être utile car cette maladie peut être à l’origine de douleurs permanentes et de symptômes multiples et variés qui peuvent avoir un certain retentissement sur la vie sociale. 
        De plus, étant souvent difficile à diagnostiquer les personnes atteintes se sentent souvent incomprises.

        Comment se faire suivre ?

        Dans un service hospitalier de maladies infectieuses, de dermatologie, de rhumatologie, de neurologie ou de médecine interne en fonction des symptômes. 


        Estimation de l’incidence annuelle moyenne de la borréliose de Lyme par région, France, 2009-2011 (Réseau Sentinelles)

        Peut-on prévenir cette maladie ?

        Oui, on peut prévenir cette maladie en prenant des précautions dans les zones à risque (zones où les tiques sont présentes). 
        Ces précautions consistent dans le port de vêtements couvrants au niveau des jambes, des bras et du cou et l’utilisation de produits répulsifs lors de promenades ou de travaux en forêt. 
        Il est ensuite important de s’inspecter soigneusement à la recherche de tiques afin de les enlever. 
         

        L’extraction de la tique doit se faire le plus rapidement possible en la prenant au plus près de la peau grâce à une pince et sans oublier la tête. 
        Il est ensuite conseillé de désinfecter la zone. 
        Par contre, il est déconseillé d’utiliser de l’éther au moment de l’extraction de la tique. 
        Par ailleurs, les personnes ayant des animaux domestiques (chats, chiens, chevaux…) peuvent utiliser en prévention des poudres anti-tiques afin de traiter ces animaux et leur environnement. 
        En cas de piqûre de tique, il n’est pas nécessaire de donner un traitement antibiotique en prévention (antibiothérapie prophylactique) car, comme énoncé précédemment, toutes les tiques ne sont infectées par la bactérie et une personne piquée par une tique infectée ne développe pas forcément la maladie. 
        Par contre, une antibiothérapie prophylactique peut être recommandée aux femmes enceintes. 
        En effet, si la maladie survient chez une femme enceinte au cours de la grossesse, le risque d’une infection du fœtus ne peut pas être exclu. 
        Un vaccin a été mis au point aux États-Unis, mais il est d’une efficacité relative et n’est actif que sur l’espèce Borrelia burgdorferi. 
        Il n’est plus commercialisé à l’heure actuelle. 
        Ce vaccin n’est pas utilisé en Europe où plusieurs espèces différentes de Borrelia sont présentes.
         
        Vivre avec : Quelles sont les conséquences de la maladie sur la vie familiale, professionnelle, sociale, scolaire, sportive ?

        La maladie de Lyme, lorsqu’elle est diagnostiquée précocement et traitée, guérit rapidement et n’a donc pas ou peu de retentissement sur la vie des personnes atteintes. 
        En revanche, si le diagnostic n’est pas fait rapidement et que la maladie devient chronique, le retentissement sur la vie peut être plus important ; les conséquences sont variables en fonction du stade et de la sévérité des symptômes. Les manifestations neurologiques, articulaires, cardiaques peuvent être très handicapantes. 
        De plus, en raison de la difficulté de diagnostic de cette maladie, les personnes atteintes souffrent souvent d’une non reconnaissance de leur maladie par le système de santé et d’une incompréhension de la part de leurs proches. 
        Cependant, même au stade tardif de la maladie, le traitement permet habituellement l’amélioration ou la disparition des symptômes.
         
        En savoir plus : Comment entrer en relation avec d’autres personnes atteintes de la même maladie ou pour obtenir plus d’information sur la maladie ?

        En contactant les associations de malades consacrées à cette maladie.  Voir sur Internet !
        Vous trouverez leurs coordonnées en appelant Maladies Rares Info Services au 0 810 63 19 20 (Numéro azur, prix d’un appel local) ou sur le site Orphanet (www.orphanet.fr).  


         Les Alternatives aux traitements classiques :
        On peut citer les traitements habituels naturels contre les infections comme l'Argent colloïdale ou les Huiles essentielles (Voir un aromathérapeute).  
        Le complexe Tic Tox aux huiles essentielles composé spécialement contre la maladie de Lyme a été interdit par Big Pharma !

        Le scandale du Tic Tox : un remède efficace aux huiles essentielles contre la Maladie de Lyme interdit !

         



         
         

        Coup monté doublé d’une rare incompétence, l’AFSSAPS a décidé de suspendre le seul produit efficace dans la maladie de Lyme, ou borréliose, infection transmise par une piqûre de tique. 
        Non seulement la vente du Tic Tox du laboratoire Nutrivital est interdite, mais aussi sa fabrication.

         

         

        Justification officielle : le Tic Tox ne bénéficie pas d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) délivré par l’AFSSAPS.



        Quand chaque jour nous apprenons les effets délétères des médicaments bénéficiant de l’estampille réglementaire AMM, on se demande comment un tel argument peut encore avoir du poids. 
        Pour le Tic Tox – et il est commercialisé depuis une quinzaine d’année – il n’y a jamais eu aucun accident, ni même incident, à déplorer. 
        Bien au contraire !

        Pour autant, les autorités remettent en cause son bénéfice. CHERCHEZ L’ERREUR !!!

         

         

        Une neurotoxicité exagérée



        Mais surtout, depuis quand faut-il une AMM pour un produit naturel composé d’huiles essentielles ? 
        L’AFSSAP a trouvé une faille : Le flacon de 15 ml de Tic TOx contient o,3ml d’huile essentielle de sauge officinale dont la vente est réservée aux pharmaciens. 
        Pourtant, la commercialisation du Tic Tox repose sur des connaissances sérieuses : Bernard  Christophe, le gérant de Nutrivital, est docteur en pharmacie, spécialisé en phyto-aromathérapie depuis quarante ans. 
        Concernant la neurotoxicité de la Thuyone contenue dans l’HE de sauge, plusieurs spécialistes comme Pierre Franchomme estiment que le niveau contenu dans le TicTox se trouve en dessous des normes considérées comme toxiques.

         

        Un déni systématique

         

        Mais le scandale va beaucoup plus loin. 
        Cette opération de démantèlement du laboratoire Nutrivital s’inscrit dans une démarche visant à supprimer une approche alternative  de la borréliose.

        Bernard Christophe travaille depuis longtemps sur la maladie de Lyme. 
        Il a constaté les échecs des antibiothérapies et observé les déficiences des méthodes officielles de détection de la maladie – en l’occurrence celle de Bio-Mérieux. "Beaucoup trop de tests français ressortaient comme faussement négatifs", explique-t-il. 
        Il s’est donc tourné vers un test allemand. 
        Comme par hasard, l’Agence régionale de santé (ARS) vient d’ordonner la fermeture pour un mois du laboratoire strasbourgeois du Dr Schaller : celui-ci propose depuis 2007 le test  All-Diag de l’entreprise allemande Mikrogen. 
        Remontant le fil de cette maladie pernicieuse, Bernard Christophe a aussi alerté les autorités sur une contamination sanguine possible : de nombreuses borrélioses enkystées dans les cellules sanguines peuvent ainsi contaminer de nouvelles personnes.

         

        En réponse à tous ces signaux d’alarme…c’est le silence radio. 
        Exaspéré par le déni officiel, et pour qu’enfin une  véritable discussion s’ouvre sur cette maladie, il finit par porter plainte pour "non-assistance à personne en danger", à l’encontre de l’ordre des médecins, et du laboratoire.

         

        Fait significatif, la réponse n’est pas venue du procureur, mais de l’AFSSAPS. Les scandales n’y font rien. Les autorités françaises continuent de soutenir  la médecine des intérêts financiers plutôt que celle qui privilégie une véritable  notion de santé publique. La liberté de se soigner est tombée bien bas.

         

        - Source : Article extrait de Principes de Santé, mars 2012, n° 43

        Voir article complémentaire ici :
        http://changera.blogspot.fr/2014/05/la-maladie-de-lyme-lettre-au-ministre.html